Bonjour le monde !

Il s’agit de notre tout premier article…

Cher lecteur,

ce blog est né de l’indignation qu’un certain nombre de personnes ressentent face à des comportements dans l’espace public. Cela concerne en particulier les déchets qui jonchent le sol de nombreuses routes et chemins de France : cette pollution visuelle insidieuse est omniprésente.

Il a été nommé « coupe des talus » suite à l’observation des pratiques de certains professionnels dans les tâches de fauchage et d’entretien des bords des routes. En effet, les déchets réduits en morceaux par la faucheuse s’ajoutent à tous ceux déjà existants et qui vont, pour bon nombre d’entre eux, se diriger vers les cours d’eau puis les océans.

Nous, citoyens, auteurs de ce blog, désirons de manière collective :
– Dialoguer et rester le plus simple et concret possible.
– Recueillir d’autres observations pour interpeller les professionnels, les élus, les citoyens, et provoquer les changements qui s’imposent.
– Peser sur les négociations en cours dans le contexte du changement climatique…

Cher lecteur, il est urgent d’agir. Sans votre aide, cela risque d’être limité… Mais dans tous les cas, nous aurons fait notre part !

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Pour la diffusion de masse d’une culture hybride mécanico-écologique

L’expérience de Couper sans broyer les déchets a bien mis en évidence une des causes du broyage intempestif des déchets : le fait qu’une culture hybride mécanico-écologique ne soit pas largement partagée dans la population, ou à tout le moins, par les professionnels de la mécanique, de l’entretien des espaces verts et naturels, des jardins, de toutes celles et ceux qui ont à manipuler des outils ou des engins mécaniques.

Cette culture existe-t-elle quelque part ?

Si vous l’avez rencontrée, si vous connaissez des femmes et des hommes qui en sont porteurs ou dépositaires, merci de nous en faire part.

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Des Naturalistes en lutte pour l’entretien des bords de route

Grace à Notre-Dame des Landes, la coupe des talus est dans l’actu !

Merci aux naturalistes qui ont fait et font un super boulot (et ont payé un prix élevé avec la mort de Rémi Fraysse à Sivens).

Parmi leurs recommandation on notera :

« …utiliser du matériel adapté pour ne pas déchiqueter les arbres et les arbustes, et sans pénétrer la haie. De même, les fossés ne doivent pas être surcreusés, les herbes des bermes ne doivent pas être broyées au ras du sol, tout en en respectant une largeur suffisante.

Maintenir ces bords de route vivants pour une diversité d’espèces végétales et animales. La coupe des arbres et des arbustes (en dehors des haies) en bord de route permet l’installation de nombreuses espèces et est favorable voire nécessaire 
pour la survie de certaines. C’est particulièrement le cas des reptiles qui vont y trouver des places de chauffe nécessaires à leur régulation thermique. La colonisation par les ronciers et fourrés entraîne une banalisation de ces bords de route et oblige les espèces à circuler sur la chaussée au risque de se faire écraser. »

Un regret : aucune allusion au déchiquetage des objets plastiques jetés par les passants et surtout automobilistes. Les avoir ramassés en amont avant de passer l’engin de coupe évite de les broyer en mille morceaux encore bien plus nocifs pour la faune et polluants. De plus, parcourir le bord du talus à pied permet également de repérer les éléments de la faune et de la flore à particulièrement préserver.

Notre-dame des Landes fait émerger des savoirs utiles pour tous les talus, PARTOUT !

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Déchets, détritus, dépotoirs, largués dans la nature, polluant l’espace public : thèmes traités par journalistes, médias, encyclopédies ?

Aidez-nous à recenser tout ce qui est paru dans les journaux, les médias, les blogs spécialisés, les encyclopédies, les sites de référence… :

définitions, articles de fond ou d’actualité…

  • Dans Wikipédia :

Décharge (déchet)

Déchet

Si

 » « usuellement, un déchet (détritus, ordure, résidu, etc.) désigne : la quantité perdue dans l’usage d’un produit, ce qui en reste après son utilisation. De nos jours, ce terme tend à désigner n’importe quel objet ou substance ayant subi une altération d’ordre physique, chimique, le destinant à l’élimination ou au recyclage. Selon une formule employée en logistique, ‘ le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas ‘ »  »

selon

à DÉCHOIR, Dictionnaire Historique de la langue française, sous la direction d’Alain Rey, Le Robert

alors, le mot déchet ne convient pas pour désigner de quoi nous parlons ici !

Existe-t-il un mot qui convient mieux ? Faut-il l’inventer ?!

Votre avis, vos propositions nous intéressent.

idée : par analogie aux laisses de mer, ne pourrait-on pas parler de laisses de terre (pas de liens sur la toile ?) pour tout objet ou fragment se trouvant sur le sol ou dans la nature ?!
  • Autres sites de référence
    • Documents scientifiques

Expédition 7e Continent with English Subtitles

90% des plastiques présents en mer proviennent des continents… aucun océan n’est préservé par la présence massive de plastiques (8 à 10 millions de tonnes déversées par an, plusieurs centaines de millions de tonnes identifiées comme à la surface d’un océan)…ces plastiques véhiculent des perturbateurs endocriniens, métaux lourds et autres polluants, et sont autant de pièges de biodiversité pour les poissons, mammifères marins et oiseaux qui les avalent.

Alors que la France accueille la conférence sur le climat ParisClimat2015, générant une mobilisation nationale et internationale pour l’environnement, il est grand temps de COMPRENDRE, d’EXPLIQUER et d’AGIR.

C’est pourquoi Expédition 7e Continent, œuvre pour un océan préservé en 2015 par 2 expéditions combinant des savoirs-faire scientifiques, pédagogiques, médiatiques structurées autour d’un engagement commun par l’action, du 15 mai au 15 Juin 2015 en Atlantique Nord et Décembre 2015 / Janvier 2016 en Atlantique Sud.

Venir sur place, prélever des échantillons, permet de prendre conscience de la gravité de la situation et de ses conséquences…

Ndlr : NOUS NE POUVONS PLUS DIRE QUE NOUS NE SAVONS PAS les conséquences sur la faune et la flore, sur l’ensemble du vivant, de nos inconséquences

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