L’expérience de Couper sans broyer les déchets a bien mis en évidence une des causes du broyage intempestif des déchets : le fait qu’une culture hybride mécanico-écologique ne soit pas largement partagée dans la population, ou à tout le moins, par les professionnels de la mécanique, de l’entretien des espaces verts et naturels, des jardins, de toutes celles et ceux qui ont à manipuler des outils ou des engins mécaniques.
Cette culture existe-t-elle quelque part ?
Si vous l’avez rencontrée, si vous connaissez des femmes et des hommes qui en sont porteurs ou dépositaires, merci de nous en faire part.